Ce blazer gris Max Mara est d'une élégance intemporelle. Il a été confectionné dans une laine vierge de grande qualité. Ce blazer exquis présente une coupe ajustée qui respire la sophistication, ce qui en fait le complément idéal de toute garde-robe professionnelle. Sa couleur grise classique lui confère une grande polyvalence, permettant à ce blazer de passer sans problème du bureau à la soirée. Le luxueux tissu en laine vierge offre une sensation de douceur et de confort, tandis que la construction impeccable garantit une durabilité à long terme. Élevez votre style avec le luxe discret de Max Mara, une pièce indispensable pour la femme moderne.
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Marque : Max Mara
Style : Moderne
Etat : Très bon état
Type : Blazer
Couleur : Gris
Saison : Automne / Hiver
Matière principale : Laine vierge 48%
Doublure : Acétate 55%
Fabrication : Italie
Taille : 42 CH Guide des tailles
Blazer gris Max Mara
Histoire de la marque
Mode de paiements
En 1951, l'italien Achille Maramotti crée Max Mara, la première manufacture européenne de prêt-à-porter. Achille Maramotti, né le 7 janvier 1927, est le fils de Giulia Maramotti, fondatrice d'une école de couture, et le petit-fils de Marina Rinaldi, propriétaire et dirigeante d'un atelier de confection.
La première collection ne contient que deux pièces : un tailleur et un manteau. Son fondateur cherche à dupliquer les styles de vêtement de la haute couture parisienne avec les techniques de production de prêt-à-porter américaine des années 1930.
Dès les années 1960, la marque s'associe à des créateurs reconnus pour dessiner ses collections : Emmanuelle Khanh, Jean-Charles de Castelbajac, Guy Paulin, Lison Bonfils, Franco Moschino, Karl Lagerfeld. La première boutique de la marque ouvre ses portes en 1964 à Reggio d'Émilie. Lors de la même décennie, son premier spot publicitaire est réalisé par Sergio Leone.
En 1969, Max Mara sort une ligne de vêtements sportswear, Sportmax. Avec Sportmax, l'enseigne développe des boutiques « total look », où les clientes de Sportmax peuvent s'habiller de la tête aux pieds. Cela fait suite au voyage d'Achille Maramotti la même année aux États-Unis, où il découvre cette innovation, arrêtant dès lors de ne produire que des vestes et des manteaux.